Critique: Song of Horror
Voici notre critique du jeu Song of Horror, testé sur PS4:
Genre: Survie horreur et réflexion
Développeur: Protocol games
Date de sortie: 16 mai 2020
Disponible sur PlayStation 4, Xbox One et PC
Tout commence avec la disparition de Sebastian P. Husher, célèbre écrivain, ainsi que sa famille. Inquiet de ne plus avoir de nouvelles de sa vedette, le rédacteur en chef de Husher envoi Daniel, un assistant de la maison d’édition à son domicile.
Problème : une fois devant le manoir, porte ouverte, silence, sombre et sans vie, Daniel entre dans la résidence Husher espérant retrouver la famille. Malheureusement, rien… juste un son…une mélodie… comme celle d’une boite à musique. Plus que Daniel s’enfonce dans la demeure, plus que cette musique s’intensifie! D’où viens t’elle? Il cherche d’où elle peut provenir. Sa chasse prend fin au moment où il voit une porte. Que fait-elle là? Cette musique a l’air d’y provenir. Impossible, cette porte ne peut être la! Daniel l’ouvre et lui même ne donna plus de nouvelles par la suite.
C’est drôle. Ce jeu me donne l’impression de n’avoir rien à dire mais en avoir beaucoup à la fois.
CE JEU VEUT MA MORT
Nous commençons la partie avec 4 personnages. J’aimerais bien vous les présenter, mais ce jeu m’a déclaré la guerre. Oui, je l’avoue. C’est la première critique que j’écris et je que je n’ai pas encore fini le jeu. Je ne sais même pas si je suis à la moitié de complété! Déjà, le jeu se met par défaut en 3ieme difficulté. Mais en plus, si un de vos personnages meurt au cours du chapitre, le déroulement en changera légèrement, mais s’ils meurent tous… fin de partie… On recommence le chapitre du début!
Voilà la raison pourquoi je n’ai pas fini le jeu! Mon frère et moi avons été game over 1 fois par chapitre. Je sais, c’est un fail! Voyez pourquoi je sors les armes contre.
Sinon, je vais avouer que le jeu m’a plu. Graphiquement, ce n’est pas réellement digne de la PS4. Ceci dit, je pense que toutes les qualités que ce titre contient peuvent largement compenser. Pour commencer, nous retournons au camera des bons vieux titres des survie/horreur que les classiques comme Resident Evil, Dino Crisis ou Alone in the Dark de la PS1.
Ces fameuses vues style caméra de surveillance. Ce que j’aime dans ce style de vue c’est qu’il est possible de facilement placer des petits jumpscare et ce jeu l’exploite à la perfection. Des fantômes qui passent d’un couloir à un autre ou des monstres qui ouvrent tranquillement une porte quand vous y êtes de dos. C’est juste bien dosé et c’est totalement aléatoire, tout comme les attaques des ombres. Évidement le scénario obligera qu’elle piège et attaque, mais pour la majorité, c’est réellement aléatoire. Sérieusement, pour moi c’est un gros plus. On ne peut pas toujours prévoir les moments où on peut se faire prendre. Par contre, nous pouvons au moins prédire quelques attaques. Comment on fait? C’est simple, écouter aux portes ou dans le pire des cas… cachez-vous! Oh détail, si vous ne l’avez pas compris, vous n’avez pas d’armes. Évidement, sinon ce serait moins drôle!
Drôle d’énigmes
Je ne sais pas trop quoi penser des casse-têtes du jeu. Pour la suite, je vais me baser juste sur le premier chapitre. On retrouve un système similaire aux 5 premiers Resident Evil (j’entends 1,2,3, CV et 0). On doit utiliser une batterie à moteur pour un truc donc, trouver les cordes à booster cachés quelque part. Vous devez alors allumer l’électricité de la maison, trouver des fusibles, etc. Jusque là ça convient, mais certaines choses font moins de sens, comme les poupées… Je n’ai pas compris pourquoi nous devions trouver ces foutues poupées. Si vous voulez m’éclairer, n’hésitez pas à le faire en commentaire, parce que pour moi ce qui en a suivi était juste un hasard scénarisé. Ceci dit, malgré mes confusions, c’était une joie de ravoir ce genre de système de jeu que la série mythique de zombie a laissé tomber.
Oh j’oubliais, un truc qui m’a attiré du jeu était son ambiance simple. De ce que j’ai pu voir, pour les quelques chapitres parcourus, nous ne sommes pas dans des décors auxquels Silent Hill nous aurait habitué ou des jeux de maison hantée comme Visage. Juste simple, quasi aucune musique, quasi aucun son. Voici une autre raison pourquoi je trouve que les jumpscare sont plaisants.
Ce jeu n’est quand même pas simple. J’oubliais d’écouter aux portes, ce qui ma coûté la vie… plusieurs fois et comme les attaques sont aléatoires! Désolé d’être plus court que la normale, puisque je n’ai pas pu encore finir le jeu! Je pense avoir pu l’expérimenter assez pour vous livrer l’essentiel de mes impressions. Par contre, je veux le finir, je veux connaître l’origine de cette fameuse boite à musique. Je veux savoir pourquoi les propriétaires en étaient si obsédés.
J’ai aimé le tester pour vous et j’aimerais pouvoir avoir la chance d’en rediscuter une fois fini! Je vous recommande ce jeu pour les curieux du genre énigme et horreur. Bon jeu à tous!
Un énorme merci à Raiser Games de nous avoir permis de tester le jeu pour en faire une critique.
Merci d’avoir pris le temps de lire notre critique du jeu Song of Horror. N’hésitez pas à nous donner vos avis sur ce jeu dans la section commentaire, ci-dessous!
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